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Hôtellerie parisienne

Le docteur Aïdi garde le groupe Royal Monceau

«Considérant dans ces conditions qu'aucun des moyens invoqués au soutien du recours exercé par le Procureur de la République n'est fondé, que le jugement sera en conséquence confirmé en ce qu'il a arrêté les plans de continuation des sociétés sus-visées.» C'est en ces termes que la 3ème chambre de la Cour d'appel de Paris a confirmé, vendredi 5 décembre, la décision de 1ère instance rendue le 1er août dernier par le tribunal de commerce de Paris. Ce jugement avait retenu le plan de continuation de sept sociétés du groupe hôtelier Royal-Monceau. Le tribunal avait en fait décidé que les sociétés en question demeureraient entre les mains de l'homme d'affaires syrien Osmane Aïdi. «J'ai toujours eu confiance en la justice ! Je suis satisfait», a indiqué le fondateur du groupe à la sortie du Palais de Justice, vendredi dernier.

Par ailleurs, la Cour d'appel a confirmé le plan de reprise proposé par le conglomérat français, Accor, concernant l'hôtel Miramar de Biarritz et son institut de thalassothérapie.

Rappelons que les murs de cet établissement étaient détenus par l'UIS (filiale du Gan).



L'HÔTELLERIE n° 2539 Hebdo 11 decembre 1997

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