Actualités

	du 9 septembre 2004	REVUE DE PRESSE

Dans L'Express : Le choix de Jean-Luc Petitrenaud : La Pré Catelan à Paris.
"Au Pré Catelan, l'accueil est aussi ouaté et délicat que la cuisine de Frédéric Anton est ébouriffante. Inoubliable !"

< Dans Midi-Libre
Bilan estival plutôt sombre en Languedoc-Roussillon
Le CRT du Languedoc-Roussillon vient de dresser un bilan morose de la saison d'été. 54 % des professionnels ont enregistré une baisse de leur activité. 5 millions de nuitées perdues en 3 ans… Réactions en vue
"[…] Face à la succession des mauvais scores qu'empile désormais le Languedoc-Roussillon, le CRT avance deux explications majeures : l'étalement des vacances sur l'ensemble de l'année au détriment des congés d'été et la "baisse progressive du pouvoir d'achat des ménages" français qui se répercute "directement" sur le budget dédié aux loisirs et aux vacances. S'ajoutent à ces deux tendances lourdes diverses causes […] et "le coût de la vie sur le lieu de vacances"… […]
"Dans l'ensemble, le rapport qualité-prix n'est pas mauvais en Languedoc-Roussillon", tempère Christine Pujol, la présidente du CRT. "Mais, quand il y a exagérations, elles sont le fait des saisonniers", ces professionnels qui ne sont pas présents à l'année.
[…] Dans ce contexte, le CRT lancera rapidement une nouvelle campagne de promotion. […] Dans la foulée, en 2005, un schéma régional de développement touristique sera élaboré. […] La tâche sera lourde. Car, cet été, les professionnels ne se sont pas privés, eux non plus, de dire ce qui n'allait pas. En particulier le manque de places de parkings à la disposition des vacanciers. "C'est vrai qu'il y a dans cette région des problèmes d'infrastructure, mais aussi de signalétique", observe Christine Pujol. […] »

< Dans La Dépêche du Midi
Profession barman avec Jacques Robert
Jacques Robert, propriétaire et gérant du Café des Artistes à Toulouse, explique son parcours réussi et inattendu dans les colonnes de La Dépêche du Midi.
"Parcours : "Je me destinais à toute autre chose. Après des études de procédure à Toulouse, j'ai exploré plusieurs univers : la banque, la publicité, la communication, l'imprimerie, le vêtement… Finalement, j'ai voulu travailler pour moi et je suis reparti à zéro. Le café Chez Pierrot était à vendre.
Après une année de travaux, il est devenu le Café des Artistes, en clin d'Ïil aux Beaux-Arts et au Conservatoire, situés à proximité. Il a toujours été fidèle à son nom puisqu'à ses débuts, il se transformait en café-théâtre pour accueillir les étudiants en art dramatique du Conservatoire et, depuis 8 ans, nous exposons les peintures, photographies et mosaïques d'artistes amateurs." […]
Qualités d'un barman : "Etre souriant, disponible, à l'écoute des clients, bien connaître ses produits et savoir laisser ses soucis à la maison…" »

< Dans Le Commerce du Levant
La nécessaire relance du tourisme en Irak…
"[…] En 1985, dit Dlair Ismaïl, président du Syndicat des hôteliers en Irak, l'Irak avait une capacité d'accueil de 100 000 lits répartis sur tout le territoire. Mais ce nombre, 20 ans après, a bien diminué et, en tout cas, n'est plus suffisant, même pour héberger les pèlerins qui voudraient visiter les lieux saints. […] La ville de Bagdad vient juste après, car pour une agglomération de 5 millions d'habitants sur 1 000 km2, il n'y a que 5 000 chambres plus ou moins opérationnelles. Une capacité qui n'est même pas suffisante pour la foire internationale. Sans parler des hommes d'affaires et des cadres spécialisés dans la reconstruction. Côté tourisme pur, qui reprendra peut-être un jour, l'Irak est un foyer des antiques civilisations babylonienne et assyrienne, et un pays de richesses naturelles […] Les lois ayant trait aux marchés de l'investissement sont sur le point d'être promulguées. Et l'Irak et le Liban ont signé, il y a 6 mois, un protocole de coopération. Les deux signataires, l'Association des hôteliers en Irak et le rassemblement des Syndicats touristiques au Liban, doivent explorer ensemble ce qu'il est possible de faire, où, et surtout quand. Mais il est toujours bon d'être le premier arrivé, "surtout lorsqu'on est porteur d'une nationalité acceptée par l'ensemble du peuple irakien". » zzz18p zzz22v zzz99

< Dans 24 heures
Gastronomie en première classe
Pendant 4 mois, la section suisse des Jeunes restaurateurs d'Europe propose des repas gastronomiques pour les voyageurs en première classe du TGV Paris-Lausanne qui fête ainsi en beauté ses 20 ans. Le quotidien suisse, 24 heures explique ce que cela implique exactement et ce que l'on peut en attendre.
"[…] Neuf chefs sont ainsi sélectionnés. Parmi eux, on retrouve le Gruérien Marcel Thürler (Restaurant de la Tour, La Tour-de-Trême), le Valaisan Olivier Vallotton (Le Gourmet à Martigny), le Genevois Patrick Laporte (Café de la Réunion, Veyrier), le Neuchâtelois Stéphane Mooser (Auberge du Grand Pin, Peseux) ou le Vaudois Pierryck Suter (Hôtel de la Gare, Lucens). Ne pouvant bien sûr pas être présents sur tous les trajets, les cordons bleus ont délégué la fabrication de leurs recettes communes à une petite société parisienne au vert nom de Pistache. Quelques visites sur place et une dégustation finale en Gruyère les ont définitivement convaincus de l'expérience. "Bien sûr, on ne peut pas faire n'importe quoi, avoue Pierre-André Ayer. Nos partenaires nous ont soumis une liste de produits qui correspondaient aux tarifs que tous voulaient pratiquer. Il ne faut tout de même pas que les voyageurs s'attendent à manger comme dans nos restaurants respectifs !"
"Il y a des recettes que nous n'avons jamais pu sortir, admet Marcel Thürler. Il faut privilégier les plats en sauce aux poissons qui peuvent se dessécher. Mais, dans l'ensemble, des repas mijotés ressortent parfaitement le côté goûteux. Même si nous sommes tributaires des autres." Les plats principaux arrivent en effet en barquettes précuisinées et réfrigérées avant d'être 'régénérées' dans un four à infrarouge pendant 8 minutes à 280 degrés et renversés dans un plat. Quant aux entrées comme les terrines, elles sont passées à l'électro-froid avant d'être servies. C'est dire si le personnel roulant porte une lourde responsabilité dans la qualité des 8 menus qui tournent tous les 3 jours. »

Dans Le Point :
Le choix de Gilles Pudlowski : Tom aikens à Londres.
"Anglais pur jus, disciple de Robuchon, installé au coeur de Chelsea dans un cadre minimaliste, Tom le magnifique est l'étoile montante à découvrir."

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L'Hôtellerie Restauration n° 2889 Hebdo 9 septembre 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE