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Certes, la TVA, les charges sociales, le nouveau classement hôtelier, etc. ont été abordés lors de l'assemblée générale de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie de Haute-Loire, mais c'est l'emploi qui reste le plus préoccupant. Régis Marcon l'a souligné : "Nous essayons de faire avancer les choses tout doucement. Depuis plus de dix ans, les indépendants peinent à trouver du personnel. Trop de jeunes abandonnent en cours de route." D'où l'importance des maîtres d'apprentissage, des journées découvertes en entreprises pour mieux informer sur les réalités du métier. "Et surtout nous devons valoriser les métiers du service. Une réflexion doit apporter des piste sur la formation actuelle - est-elle adaptée ? -, l'image des métiers et le regard des clients."
Après les interventions du commandant des sapeurs pompiers Denis et du commissaire Alfred Lenglet, Thierry Grégoire, président des saisonniers à l'Umih national, a répondu sans détours : trop de réglementation va finir par tuer l'hôtellerie et mettre en déroute les bars ; 85 % de l'alcool vendu en France vient des supermarchés, a-t-il rappelé, "et les buvettes et autres soirées festives et alcoolisées organisées par les associations passent au travers des contrôles. Il faut les mêmes règles pour tout le monde : associations et bars ; gîtes, tables d'hôte et hôtellerie."
Après les interventions du commandant des sapeurs pompiers Denis et du commissaire Alfred Lenglet, Thierry Grégoire, président des saisonniers à l'Umih national, a répondu sans détours : trop de réglementation va finir par tuer l'hôtellerie et mettre en déroute les bars ; 85 % de l'alcool vendu en France vient des supermarchés, a-t-il rappelé, "et les buvettes et autres soirées festives et alcoolisées organisées par les associations passent au travers des contrôles. Il faut les mêmes règles pour tout le monde : associations et bars ; gîtes, tables d'hôte et hôtellerie."
Publié par Pierre BOYER
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