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Pendant des années, l'aile ouest du Palais de Tokyo recelait les archives. Aujourd'hui, la partie qui fait face à la Seine et à la Tour Eiffel a été investie par le trio Gilles Malafosse, Laurent Gourcuff et Benjamin Cassan. Les trois amis d'enfance ont immédiatement imaginé le potentiel de cet emplacement qui offre une terrasse plein sud de 600 m² avec une vue unique et un espace de 300 m² à l'intérieur pour y créer le bar-restaurant dont ils rêvaient. Gilles Malafosse est le restaurateur (Le Flandrin et Petrus à Paris, Petrus à Genève). Ses associés, Laurent de Gourcuff (groupe Noctis) et Benjamin Cassan (Zain Agency) sont des acteurs reconnus de l'événementiel et du divertissement à Paris. Leur objectif ? " créer un lieu éminemment parisien où l'on se retrouve tôt dans la soirée, un lieu d'échange et de plaisirs gourmands."
Gilles Malafosse a confié la cuisine à deux cuisiniers qu'il connait bien pour les avoir vus à l'oeuvre chez Petrus. Benjamin Masson vient d'effectuer son transfert, tandis que Benoît Dargere, aujourd'hui chef-propriétaire du Clos Saint Basile à Mougins, oeuvre en tant que consultant. Les deux hommes travaillent de concert et revendiquent "une cuisine de cuisinier ». « Ce n'est pas de l'assemblage. Tout est fait maison. Évidemment, il y a du monde en cuisine », résume Benoît Dargère.
« On voulait une carte assez ouverte en termes de prix, de choix de produits et de cuisines. Une base française très affirmée et des clins d'oeil internationaux », explique le chef de Mougins. La carte comprend des classiques comme le burger. « Nous avons voulu un super burger avec un pain spécial, du boeuf wagyu, du bacon et des frites maison (23 euros). Même chose pour la salade niçoise au thon frais (16 euros en version entrée, 22 euros en plat)... », précise Benjamin Masson. Les deux chefs ont aussi pensé au poulet rôti au four vendu pour 2 ou 4 personnes présenté sur plat, avec un jus simple (25 euros par personne) ou aux morilles (32 euros par personne). Les clients peuvent opter pour des plats moins classiques comme les cuisses de grenouille dorées, ail, persil, écrasée de pommes de terre ratte (26 euros) ou des gambas black tiger, fenouil, mangue, noisettes et coriandre. Sans oublier la carte des desserts (11) et celle du bar qui reprend en simplifié des plats du restaurant.
Monsieur Bleu, c'est 300 m² et 9 m de hauteur, que l'architecte Joseph Dirand a redécoupé avec, au centre, un bar et deux alcôves encadrées de marbre, et une mezzanine-salon privé. La décoration est en harmonie avec le bâtiment qui l'abrite. Une influence art déco incontestable entre le vert des fauteuils et banquettes, le marbre et les panneaux de verre Lalique. A l'étage, un salon avec un mur en brique et du mobilier vintage à ouvert à la location.
La vaste terrasse avec vue sur la Tour Eiffel a pâti, comme ses confrères, des pluies incessantes sur la capitale, mais tout espoir n'est pas perdu. Monsieur Bleu (en hommage au peintre Yves Klein) a reçu un bel accueil de la part de la clientèle parisienne. Le voiturier est une bonne option.
Gilles Malafosse a confié la cuisine à deux cuisiniers qu'il connait bien pour les avoir vus à l'oeuvre chez Petrus. Benjamin Masson vient d'effectuer son transfert, tandis que Benoît Dargere, aujourd'hui chef-propriétaire du Clos Saint Basile à Mougins, oeuvre en tant que consultant. Les deux hommes travaillent de concert et revendiquent "une cuisine de cuisinier ». « Ce n'est pas de l'assemblage. Tout est fait maison. Évidemment, il y a du monde en cuisine », résume Benoît Dargère.
« On voulait une carte assez ouverte en termes de prix, de choix de produits et de cuisines. Une base française très affirmée et des clins d'oeil internationaux », explique le chef de Mougins. La carte comprend des classiques comme le burger. « Nous avons voulu un super burger avec un pain spécial, du boeuf wagyu, du bacon et des frites maison (23 euros). Même chose pour la salade niçoise au thon frais (16 euros en version entrée, 22 euros en plat)... », précise Benjamin Masson. Les deux chefs ont aussi pensé au poulet rôti au four vendu pour 2 ou 4 personnes présenté sur plat, avec un jus simple (25 euros par personne) ou aux morilles (32 euros par personne). Les clients peuvent opter pour des plats moins classiques comme les cuisses de grenouille dorées, ail, persil, écrasée de pommes de terre ratte (26 euros) ou des gambas black tiger, fenouil, mangue, noisettes et coriandre. Sans oublier la carte des desserts (11) et celle du bar qui reprend en simplifié des plats du restaurant.
Monsieur Bleu, c'est 300 m² et 9 m de hauteur, que l'architecte Joseph Dirand a redécoupé avec, au centre, un bar et deux alcôves encadrées de marbre, et une mezzanine-salon privé. La décoration est en harmonie avec le bâtiment qui l'abrite. Une influence art déco incontestable entre le vert des fauteuils et banquettes, le marbre et les panneaux de verre Lalique. A l'étage, un salon avec un mur en brique et du mobilier vintage à ouvert à la location.
La vaste terrasse avec vue sur la Tour Eiffel a pâti, comme ses confrères, des pluies incessantes sur la capitale, mais tout espoir n'est pas perdu. Monsieur Bleu (en hommage au peintre Yves Klein) a reçu un bel accueil de la part de la clientèle parisienne. Le voiturier est une bonne option.
Publié par Nadine LEMOINE
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