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Dans la famille d'Antony
Giordano, on est poissonnier de père en fils. Aussi l'idée de Père &
Fish est-elle née spontanément, quand, sur les bancs de Skema Business School (à Sophia-Antipolis), l'étudiant
rencontre ses trois futurs associés : Charles
Cagnac, Ava Maisani Casanova et Alexandre
Rafaitin.
En quelques mois, le quatuor repère un créneau inexploité en restauration
rapide et affine son "concept sain, basé sur du poisson de qualité et des accompagnements bio".
"On veut faire oublier le carré pané en revalorisant le poisson et en le démocratisant", déclare l'équipe. Les poissons, uniquement travaillés en filets, seront sauvages (à l'exception du saumon, issu d'élevages d'Écosse Label rouge) et proviendront "autant que possible de la pêche durable". Père & Fish prévoit au menu des burgers gourmets de poisson, des barquettes de poisson vapeur, des salades marines ou encore des tapas. "Nous sommes en plein test. Nous cherchons d'ailleurs à faire valider nos recettes et nos process par un expert culinaire", glissent les fondateurs.
Une clientèle d'actifs
Avant même son lancement, le concept sait se faire remarquer. Lauréat du challenge Pépite France 2017 lors du Salon des entrepreneurs, il a également intégré la sélection 100 Start-ups où investir de Challenges.
La jeune pousse vise une première ouverture en propre pour le début de l'année 2018. Les quartiers de bureaux du centre de Paris sont privilégiés, les formules autour de 15 € devant séduire une ""clientèle d'actifs sensibles à une alimentation saine". "Selon notre prévisionnel, le premier exercice pourrait atteindre les 600 000 €. Nous comptons ouvrir notre deuxième magasin en propre à l'horizon 2020, avant de développer le concept en franchise, en province puis en Europe", précise Antony Giordano.
"On veut faire oublier le carré pané en revalorisant le poisson et en le démocratisant", déclare l'équipe. Les poissons, uniquement travaillés en filets, seront sauvages (à l'exception du saumon, issu d'élevages d'Écosse Label rouge) et proviendront "autant que possible de la pêche durable". Père & Fish prévoit au menu des burgers gourmets de poisson, des barquettes de poisson vapeur, des salades marines ou encore des tapas. "Nous sommes en plein test. Nous cherchons d'ailleurs à faire valider nos recettes et nos process par un expert culinaire", glissent les fondateurs.
Une clientèle d'actifs
Avant même son lancement, le concept sait se faire remarquer. Lauréat du challenge Pépite France 2017 lors du Salon des entrepreneurs, il a également intégré la sélection 100 Start-ups où investir de Challenges.
La jeune pousse vise une première ouverture en propre pour le début de l'année 2018. Les quartiers de bureaux du centre de Paris sont privilégiés, les formules autour de 15 € devant séduire une ""clientèle d'actifs sensibles à une alimentation saine". "Selon notre prévisionnel, le premier exercice pourrait atteindre les 600 000 €. Nous comptons ouvrir notre deuxième magasin en propre à l'horizon 2020, avant de développer le concept en franchise, en province puis en Europe", précise Antony Giordano.
Publié par Violaine BRISSART
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