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La Frituur
est le fruit du hasard. En 2014, la Belgique est l'invitée
d'honneur du marché de Noël de Strasbourg, friterie à la clé. Un vrai déclic
pour Christophe
Fliegans, alors en pleine
reconversion professionnelle. "J'ai monté le business plan, ça m'a semblé
prometteur. À part dans le nord de la France, il n'y avait pas d'offre de ce
type en franchise", raconte-t-il. L'autodidacte
multiplie donc les séjours en Belgique et les journées de formation chez des
frituristes, pour réaliser des frites "authentiquement belges, dans les règles de
l'art". "Nous importons de Belgique les pommes de
terre bintje, tout comme le reste de nos produits. Nous pratiquons une double
cuisson : une première à 140 °C qui permet de cuire à coeur, et une
seconde à 180 °C qui donne le croustillant. Et puis nous utilisons de la graisse de boeuf à la place de l'huile végétale, pour le goût",
détaille-t-il.
Un succès immédiat
Le premier établissement ouvre ses portes un an plus tard, dans une rue piétonne du centre de Strasbourg. Deux formats de cornets y sont proposés (3,50 € les 260 g et 4,50 € les 460 g), ainsi qu'une quinzaine de sauces et différents accompagnements : fricandelle (saucisse belge épicée), poulycroc (saucisse de poulet enrobée de corn flakes), cervelas, croquettes de fromage ou crevettes, et bientôt un burger belge, le Bicky. "L'accueil a été excellent de la part de la communauté belge présente dans la ville, mais aussi de celle des touristes venus pour le marché de Noël. Ils ont communiqué sur nous sur les réseaux sociaux. Ça nous a lancés immédiatement", se souvient-il. Le restaurant, ouvert en continu sept jours sur sept, enregistre 360 000 € de chiffre d'affaires, uniquement en vente à emporter et en livraison.
La Frituur compte aujourd'hui deux unités en propre à Strasbourg et une franchise à Haguenau. Sans oublier une tente et un food truck pour l'événementiel. L'enseigne veut désormais accélérer son développement, avec trois ou quatre ouvertures programmées d'ici mars 2019 et une prochaine levée de fonds. "Nous sommes quatre gros acteurs identifiés de la frite en France. Il y aura une prime au premier arrivant", estime Christophe Fliegans. L'objectif est d'implanter entre 50 et 100 points de vente à terme, dans les coeurs de ville et les zones de loisir.
#Frituur# franchise #Frites# #ChristopheFliegans#
Un succès immédiat
Le premier établissement ouvre ses portes un an plus tard, dans une rue piétonne du centre de Strasbourg. Deux formats de cornets y sont proposés (3,50 € les 260 g et 4,50 € les 460 g), ainsi qu'une quinzaine de sauces et différents accompagnements : fricandelle (saucisse belge épicée), poulycroc (saucisse de poulet enrobée de corn flakes), cervelas, croquettes de fromage ou crevettes, et bientôt un burger belge, le Bicky. "L'accueil a été excellent de la part de la communauté belge présente dans la ville, mais aussi de celle des touristes venus pour le marché de Noël. Ils ont communiqué sur nous sur les réseaux sociaux. Ça nous a lancés immédiatement", se souvient-il. Le restaurant, ouvert en continu sept jours sur sept, enregistre 360 000 € de chiffre d'affaires, uniquement en vente à emporter et en livraison.
La Frituur compte aujourd'hui deux unités en propre à Strasbourg et une franchise à Haguenau. Sans oublier une tente et un food truck pour l'événementiel. L'enseigne veut désormais accélérer son développement, avec trois ou quatre ouvertures programmées d'ici mars 2019 et une prochaine levée de fonds. "Nous sommes quatre gros acteurs identifiés de la frite en France. Il y aura une prime au premier arrivant", estime Christophe Fliegans. L'objectif est d'implanter entre 50 et 100 points de vente à terme, dans les coeurs de ville et les zones de loisir.
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Publié par Violaine BRISSART
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