Le Fafih publie une étude
sur
l’évolution du parc
des établissements
scolaires et CFA
Saison dans le Var p. 4
Le groupe
Blackstone
cherche à
revendre Hilton
Hôtellerie
p. 3
5
rue Antoine B396()00)ìeì
ì %6-7ì
)()<ì ìeì 0@ìBì ì
ì ì
ì
ìeì %<ìBì ì
ì ì
ì
ìeì O1%-0ìBì.3962%0°0,38)00)6-)O6)78%96%8-32@*6ìeì
ì
ìOì
396
ì237ì%&3227Aì')ì29163ì)78ì'31437ì(T92ì'%,-)6ì()ì ì4%+)7
Conjoncture
pp. 2-3
16
août 2013
N° 3355
ANNONCES
CLASSÉES
P. 6
Selon le baromètre Deloitte-
In Extenso,
l’hôtellerie
française tire son épingle
du jeu au 1
er
semestre 2013
Limoges
accueille la course
nationale des garçons de café
le 26 septembre.
p. 14
La restauration de camping mise sur la qualité et le service
Avec 237 campings recensés
en 2012, l’offre est variée
dans le département du Var.
Cette concurrence incite les
établissements à tout mettre
en œuvre pour fidéliser leur
clientèle. Le restaurant Les
Pieds dans l’eau, à Hyères,
est monté en gamme pour
attirer aussi bien la clientèle du
camping que les clients locaux.
Ces derniers permettent
la poursuite de l’activité
pendant l’arrière-saison.
“
C’est un travail de fond pour
lutter contre la mauvaise réputation de la Côte d’Azur”
,
explique le chef,
Ludovic Vautrin
.
Autre possibilité,
adoptée par
Patrick d’Hotel
,
propriétaire du camping
familial La Vidaresse à
Sainte-Anastasie-sur-Issole :
l’organisation de soirées, deux
fois par semaine, avec menu
unique et animations. Les
résultats sont encourageants.
Pour sa part,
Bernadette
Jolivot
,
gérante du Domaine
de la cigalière au Cannet-
des-Maures, a fait le choix de ne pas augmenter ses prix,
conscients que les vacanciers sont, cette année peut-être
plus que les autres, très attentifs à leurs dépenses.
Vie professionnelle p. 5
Agences de réservation en ligne : à Paris, la fronde s’organise
)7
ì -)(7ì(%27ì0T)%9Aì0)ì6)78%96%28ì(9ì'%14-2+ì 963796*ì
%14
30ìì =6)7@
Formation
pp. 2-3
Révoltés par les comportements
abusifs des sites spécialisés sur
internet (OTA, en anglais Online
Travel Agencies), des hôteliers
indépendants parisiens se préparent
à agir.
“
Nous ne pouvons pas
admettre de voir nos chiffres
d’affaires amputés par des taux de
commission allant de 18 à 25 % sur
les recettes brutes, soit 25 à 33 %
sur les recettes nettes”,
explique l’un
d’entre eux. Quelques initiatives
ont déjà été prises ces dernières
années pour se libérer des OTA, mais
elles restent encore marginales.
“
C’est un peu comme si les hôteliers
se trouvaient en état d’addiction.
(…)
Ils sont pris dans l’engrenage et
ne peuvent plus s’en sortir”
,
déclare
un professionnel.
La solution : reprendre confiance
et se mobiliser pour mutualiser les
efforts et trouver les bons remèdes,
sachant que les taux d’occupation
des hôtels parisiens atteignent des
records en raison de la pénurie de
chambres dans la capitale.
Un avantage indéniable, puisque
la fréquentation à Paris n’est pas
près de fléchir.
