Concernant l'article 'La Dordogne se mobilise' paru dans L'Hôtellerie n° 2731
du 16 août 2001, Francine Pons, cogérante de la SARL Les Charentes, précise : "Je
conteste le fait que l'on associe le projet de rénovation et développement économique
des hôtels-restaurants du quartier de la gare de Périgueux, comme une suite à l'action
menée par M. Bousquet et la CCI de Périgueux. Notre projet n'a rien à voir avec
leur démarche.
Depuis 1999, les hôteliers et restaurateurs du quartier de la gare se sont groupés en
vue de constituer un pôle hôtelier. Avec comme objectif :
w Avoir une qualité de confort identique
w Conserver son indépendance commerciale
w Avoir chacun un concept
w Etre prêt lors de l'installation du conseil
général dans notre quartier
w Etre prêt lors de l'ouverture de la A 89 sur
Périgueux
w Etre prêt pour l'ouverture de la plateforme
multimodale
Depuis 1999, nous construisons et mûrissons ce projet, accompagnés dès le début par M. Moyrand (vice-président du conseil régional, chargé du tourisme), par MM. Fennaux et Larre du service économique et emploi au conseil général. Nous avons établi le cahier des charges de notre premier audit avec la CCI et la CAP (Communauté d'agglomération périgourdine), tout en informant le conseil régional et général. L'APMID était présente, ainsi que la mairie de Périgueux, la préfecture, la délégation régionale du ministère du Tourisme, l'agence technique du développement du conseil général et la DDE. Nous avons travaillé tous ensemble.
Le 15 mars 2000, le CESR (Conseil économique et social régional) a organisé une
journée de travail sur l'environnement avec l'hôtellerie et la restauration. Nous avons
écouté les représentants de l'IHRA (International Hotels et Restaurants Association),
Green Globe 21, le projet Fematour et un représentant des professionnels de l'hôtellerie
de la région de Hesse (Allemagne). En tant que porte-parole de notre groupement, j'ai
été invitée à cette journée, tout comme M. Bousquet et la CCI de Périgueux. M.
Moyrand présidait cette journée de travail. En juin 2001, nous avons eu le compte rendu
de notre premier audit, par Horès conseil, audit qui prépare à la rénovation.
En août 2001, nous préparons notre deuxième étude, suite directe de la première.
Etude réalisée par M. Lalande, qui fait partie du groupement LMO Qualimotel. M. Lalande
va nous aider à créer le pôle hôtelier, à définir notre concept, et, dans le cadre
de la rénovation, mettre à profit tous matériaux et matériels qui seront le mieux
adaptés à notre établissement. Cela nous permettra de faire baisser les charges de
fonctionnement. Mais aussi, il nous aidera avec M. Grossi (Horès Conseil) à
l'implantation de la cuisine et du restaurant de manière à éviter les gestes et les pas
inutiles. Nous verrons aussi les matériaux modernes pour l'isolation thermique et
phonique, les matériaux pour la décoration, résistants et faciles à entretenir et en
tant que groupement, à moindre coût. Nous inclurons également une étude pour obtenir
le label Tourisme Handicap.
Quant à l'environnement, puisque nous sommes en ville, nous voulons être intégrés
dans la plateforme multimodale et qu'elle soit un atout pour nous. Donc, il n'y a pas eu
pour nous d'audit spécifique à l'environnement. La troisième étape sera la recherche
des financements, et la quatrième verra la réalisation des travaux.
En parallèle, je travaille déjà avec la CCI et la CAP, le conseil général et
régional pour la promotion de la ville de Périgueux sur la A 89. Nous ferons une étude
marketing et prévoyons des formations.
terme, et qui avance, grâce à la Région et au conseil général qui croient
fortement en nous. La CCI et la CAP collaborent afin que nos dossiers soient bien
construits.
Je suis vice-présidente CPIH 24 pour l'hôtellerie, mais notre projet n'a rien à voir
avec le syndicalisme, c'est un projet propre aux hôteliers-restaurateurs du quartier de
la gare. Dans le groupe, il y a des adhérents à l'Umih, à la CPIH et des
non-adhérents.
Nous avons rencontré le cabinet Horès Conseil et LMO Qualimotel au Salon
Rénovhôtel.
Je n'ai jamais dis que 'nous allions demander à notre tour d'être audité',
car je ne crois pas qu'il soit nécessaire de l'être pour faire baisser sa consommation
d'énergie. Les revues techniques, les visites de salons et le bon sens nous ont suffi
pour déjà réaliser d'importantes économies. Gérer l'environnement est effectivement
plus difficile.
Je souhaite que mes collègues du groupement ne prennent pas ombrage de cette mise au
point, mais il fallait la faire." zzz22v zzz36v
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L'Hôtellerie n° 2735 Hebdo 13 Septembre 2001
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