«L'Amphitryon», implanté à Colomiers, près de Toulouse, est sur le point de se trouver un nouvel avenir. Fermé depuis le moi de mai, après une première année difficile, le restaurant doit rouvrir ses portes au printemps 1997. Ainsi en a décidé l'industriel de Tarbes qui avait financé sa construction (6 MF) et mis à sa tête Claude Ribardière. Mais «L'Amphitryon» tentera de se trouver une clientèle sans ce dernier. Le chef, en effet, a définitivement quitté l'établissement pour exercer ses talents au piano de «Latitudes», au golf international de Seilh. Proche des usines de l'Aérospatiale, bénéficiant d'un large espace vert et de vastes parkings (un terrain de 6.000 m2), le restaurant offre des salles de restaurants élégantes à la belle luminosité naturelle et une terrasse couverte en hiver, capables d'accueillir respectivement 65 et 35 couverts.
Un contrat d'assistance pour le redémarrage a été confié au C.M.I.H. (Conseil en management et ingéniérie hôteliers), créé récemment par Pierre Courtois de Viçose, directeur général de l'Hôtel des Beaux Arts, à Toulouse. Une assistance qui, pour l'heure, passe en priorité par la découverte d'un nouveau chef.
J.-C. Cougoule
L'Amphitryon, à Colomiers, lors de son démarrage il y a un an et demi. Un bel outil de travail qui n'avait pourtant pas trouvé sa vitesse de croisière, mais qui veut repartir sur de nouvelles bases.
L'HÔTELLERIE n° 2493 HEBDO 16 janvier 1997
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