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Édito du 1er avril 2010 : “Étoiles hôtelières”

Vie professionnelle - mardi 30 mars 2010 15:22
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Après une gestation finalement plus fructueuse que laborieuse, les nouveaux critères de classement hôtelier, vocable choisi afin de ne pas empiler les ‘nouvelles normes’ de plusieurs générations, suscitent aujourd’hui bien des questions, et surtout des espoirs auprès des professionnels. Ce n’est pas le lieu ici de revenir sur les détails d’un dispositif certes complexe mais finalement cohérent mis au point en concertation entre les organisations syndicales et les pouvoirs publics, mais d’encourager tous les hôteliers soucieux de modernité d’entreprendre les démarches nécessaires à un classement dont la date limite est fixée au 1er juillet 2012, c’est-à-dire demain.

Très schématiquement, il faut se féliciter de l’adoption, comme dans la plupart des pays à forte activité touristique, du classement d’une à cinq étoiles, beaucoup plus vendeur que l’inénarrable ‘homologué 0 étoile’ (une subtilité exclusivement française) et le non moins surprenant ‘4 étoiles luxe’, nettement moins explicite que la cinquième étoile, qui connaît aujourd’hui un succès mérité.

Et pour vous accompagner dans votre démarche, qui nécessite à la fois un engagement personnel important et un investissement financier parfois élevé, il peut être utile à la fois de suivre le stage de pré-diagnostic proposé par Umih Formation, et ensuite de s’adresser à Oséo pour bénéficier des prêts dits participatifs susceptibles d’alléger significativement la charge d’un éventuel financement externe.

À l’heure d’échéances lourdes pour l’hôtellerie (sécurité, accessibilité) et d’une remise en cause par l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) de la suprématie française en matière de fréquentation touristique - l’Hexagone  sera vraisemblablement dépassé par la Chine en 2015 - la profession ne peut que saisir la chance de se relancer tant en qualité de prestation qu’en notoriété internationale.
L. H. R.

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