Umih 56, un centenaire dynamique
Vie professionnelle - lundi 19 octobre 2009 17:04
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Vannes (56) L’Umih du Morbihan a 100 ans. L’occasion pour son président, Jean-François Sérazin, de revenir sur cette belle histoire, entouré de 300 invités dont de nombreuses personnalités.

Jean-François Sérazin, un président volontaire.

Les représentants présents de l'Umih Bretagne.
De mariage en divorce
L’histoire de cette structure débute le 18 mai 1909 avec la création de la Chambre syndicale des cafetiers et débitants de la ville de Lorient et sa région. Suivent Vannes et Auray en 1938, avant qu’une fusion des trois associations n’intervienne en 1946. L’année suivante, le syndicat départemental des HCR du Morbihan est créé à Vannes. Le divorce intervient en 1968 avec la démission collective des membres du bureau de Lorient toujours sous la bannière de la Fédération nationale de l’industrie hôtelière (Fnih). Ce n’est qu’en 1971 que Lorient rejoint la Confédération. Le scission ne dure qu’un temps et, en 1998, sous l’impulsion de Jean-Marc Le Carour à Lorient et Xavier-Yves Ziegler à Vannes, les deux bureaux se rapprochent pour officialiser leur nouvelle union en juin 1999 au sein cette fois de l’Umih 56, tout en gardant un bureau dans chaque ville.
Grève de la faim
À la tête de ce syndicat comptant 1 100 membres depuis 2001, Jean-François Sérazin mesure le chemin parcouru et remarque quelques similitudes “notamment en 1959, où il était déjà fait état de lutte anti-alcoolique. On retrouve également dans les différents comptes rendus des AG des problèmes de recrutement, de formation, de salaire du personnel, de concurrences déloyales…” Mais ne comptez pas sur Jean-François Sérazin pour baisser les bras. Volontaire et en bon îlien Breton, l’homme n’hésite pas à payer de sa personne pour faire avancer les choses comme dernièrement lorsqu’il décida de commencer une grève de la faim pour se faire entendre des institutionnels. Il s’inscrit définitivement dans la lignée des grands présidents.
Olivier Marie |
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