Gordon Ramsay revisite la brasserie de l'Intercontinental Bordeaux - Le Grand Hotel
Restauration - mercredi 15 juin 2016 16:00
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Bordeaux (33) Étoilé au restaurant gastronomique Le Pressoir d'argent, le chef écossais poursuit son lifting de la restauration de l'établissement.

Alex Thiebaut, devant la brasserie Le Bordeaux Gordon Ramsay.

À la carte, des plats à partager tel le boeuf d'Aubrac, os à moelle en croûte d'herbes et 'jacket potato'.
Après voir repris Le Pressoir d'argent, le restaurant
gastronomique de l'Intercontinental Bordeaux - Le Grand Hotel, et y avoir accroché
une étoile Michelin, Gordon Ramsay imprime sa marque depuis
le 8 juin au Bordeaux, la brasserie de l'établissement. Au quotidien, la
partition culinaire est assurée par Alex Thiebaut, 32 ans. Cet
Alsacien au parcours jalonné d'établissements étoilés est depuis six ans un
fidèle du groupe Gordon Ramsay. "La carte a été travaillée
avec Gordon Ramsay, sa consultante Clare Smyth, et avec Gilad Pelad et Arthur Fèvre chef et
chef-pâtissier du Pressoir d'argent",
explique l'ancien chef de
cuisine du restaurant Maze à
Londres. Différentes propositions permettent de se restaurer 7 jours sur 7, de
7 heures à 23 heures, dans le décor imaginé par Jacques Garcia. Au
déjeuner uniquement, le menu-carte propose des formules : entrée et plat à
32 €, plat et dessert à 29 €, trois plats à 39 €. La carte
principale, semblable à un classieux sous-main de bureau, aligne les plats
signatures de Gordon Ramsay : le boeuf Wellingthon (79 € pour deux),
la salade Caesar (en entrée à 15 € ou en plat à 21 €). S'y glissent des
icônes british : des burgers - dont un Rossini foie gras poêlé,
truffe, comté, marmelade d'oignon au vin rouge (29 €) - et un Fish
& chips (25 €).
Les produits du Sud-Ouest en première ligne
Les mets font la part belle aux spécialités du cru : huîtres, escargots, foie gras, poissons de la criée. Le souci de la perfection se lit aussi bien dans le contenu de l'assiette que dans d'étonnantes présentations. On vise la perfection avec une brigade de seize personnes dont deux seconds, le Français Nicolas Zéaro, 32 ans, et l'Autrichien Patrick Nagel, lui aussi arrivé du Maze. Le sucré et les pains émanent d'Arthur Fèvre, qui officie au Pressoir d'argent. "Les clients qui viennent s'attabler à la brasserie ont des exigences de 3 étoiles Michelin", relève Alex Thiébaut. Dès le premier week-end, le restaurant a été pris d'assaut, avec 170 couverts le midi et 150 le soir.
Les produits du Sud-Ouest en première ligne
Les mets font la part belle aux spécialités du cru : huîtres, escargots, foie gras, poissons de la criée. Le souci de la perfection se lit aussi bien dans le contenu de l'assiette que dans d'étonnantes présentations. On vise la perfection avec une brigade de seize personnes dont deux seconds, le Français Nicolas Zéaro, 32 ans, et l'Autrichien Patrick Nagel, lui aussi arrivé du Maze. Le sucré et les pains émanent d'Arthur Fèvre, qui officie au Pressoir d'argent. "Les clients qui viennent s'attabler à la brasserie ont des exigences de 3 étoiles Michelin", relève Alex Thiébaut. Dès le premier week-end, le restaurant a été pris d'assaut, avec 170 couverts le midi et 150 le soir.
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