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MasterChef arrive à la rentrée

Restauration - mardi 6 juillet 2010 11:59
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La télé s’empare à nouveau de la cuisine pour attirer l’audimat. A la rentrée, c’est sur TF1 que l’on va pouvoir découvrir les prouesses des candidats. Leur rêve ? Devenir chef.



 Qui n’a jamais vu les auditions désastreuses des candidats recalés de la Nouvelle Star ? Ce sont ces derniers souvent les plus émouvants ou les plus drôles. Il y a les bons et ceux qui passent très vite à la trappe par manque de chance ou de talent. C’est le jeu des auditions, de la compétition, et tous l’ont accepté. Dans MasterChef, même combat. 18.000 inscrits au départ, de 18 à 70 ans. Des sélections dans plusieurs villes  (Lille, Marseille, Paris, Toulouse) et on en garde 100. Qui sont-ils ? Professeur de français, ferrailleur, assistant en boutique, mais aussi commis ou manager de fast-food. Vocation pour les uns, reconversion pour les autres, ils ont un rêve : vivre de leur passion, la cuisine.

Les 100 finalistes sont réunis dans un studio de La Plaine-Saint-Denis, en banlieue parisienne, où la maison de production Shine France a reconstitué une cuisine de 10.000 m2 (70 m de plan de travail, 40 palettes de matériel de cuisine stocké sur 500 m2, 300 casseroles, 800 tabliers…). Ils sont soumis à une batterie d’épreuves éliminatoires qui ne manquent pas de sel. Pour mettre du piment, la production a prévu des défis dans des lieux insolites, y compris à l’étranger. TF1 a les moyens. MasterChef a demandé 4 mois de tournage intensif.

Face aux candidats, un jury composé de Frédéric Anton, chef 3 étoiles du Pré Catelan à Paris, Yves Camdeborde, champion de la bistronomie à Paris et Sébastien Demorand, critique gastronomique et journaliste. « Ce sont des amateurs, on ne va pas leur demander un niveau extraordinaire, mais on a vécu des moments magiques, dit Frédéric Anton. La cuisine, c’est la transmission du savoir. Ce n’est pas facile d’apprendre un nouveau métier, de nouvelles règles. Lorsqu’à 23 h, mon petit Vosgien sort un plat superbe, on vit de belles émotions. Masterchef, c’est d’abord une aventure humaine ». « On a retrouvé chez les candidats le regard pétillant de nos 14 ans quand on a commencé Frédéric Anton et moi, ajoute Yves Camdeborde. Nous avons été exigeants et on a renvoyé des assiettes comme dans nos restaurants. Mais on a partagé avec eux la magie et le plaisir de faire notre métier ». « On a été bluffés par des candidats », assure Sébastien Demorand.

Le trio a suivi les épreuves. Shine France a conservé les meilleures. Sous le regard du Vosgien, du Béarnais et du Parisien, les candidats viennent présenter leur plat. Et c’est un festival ! Les explications voire les justifications des candidats comme les réactions des membres du jury sont étonnantes, amusantes, désopilantes, mais aussi franchement émouvantes. La joie ou la déception. C’est le jeu et l’enjeu est visiblement de taille pour les candidats. De son côté, le jury joue son rôle mais n’en oublie pas pour autant de les conseiller ou de les soutenir. Mais quand le plat est raté, ils ne mâchent pas leurs mots. Les éliminations se succèdent au fil des semaines. Qui sera le MasterChef ? Une seule certitude, il remportera un chèque de 100.000 euros, six mois de stage à l’école Lenôtre pour se perfectionner et son premier livre de recettes sera publié aux Editions Solar.

Nadine Lemoine

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