Noura muscle son pôle événements
Restauration - jeudi 20 mai 2010 16:39
Ajouter l'article à mes favoris
Suivre les commentaires Poser une question
Ajouter un commentaire Partager :
Article réservé aux abonnés
Suivre les commentaires Poser une question
Ajouter un commentaire Partager :
Paris (75) Après l’ouverture il y a un an d’un laboratoire de 1 800 m2, le traiteur emblématique de la cuisine libanaise vient d’inaugurer un espace d'exposition pour ses clients. Avec en vue un fort développement sur le marché de la réception.

Chez Noura, la cuisine est faite de manière artisanale.

Naya, le laboratoire de 1 800 m2 implanté par Noura à Noisy-le-Grand (93).
Noura Evénements dispose d’une salle de 290 m2 et d’une terrasse de 300 m2 au neuvième étage de l’Institut du monde arabe. La société est aussi en mesure de proposer aux clients la privatisation de ses restaurants. La société est également référencée au Pavillon Dauphine. “Notre cuisine se prête bien à l’événementiel - chawarma, pain… -, donc il était logique de nous orienter vers ce marché”, admet Paul Bou Antoun. Leur objectif ? Passer de l’organisation de 25 événements par mois à une centaine en 2015.
Naya, premier laboratoire libanais agréé en France
Support de son développement dans les années à venir, la société libanaise a investi dans un laboratoire. “On ne pouvait pas envisager un développement avec les cuisines des restaurants”, raconte Eric Dufay, directeur du laboratoire. Naya (qui signifie ‘sombre’ en libanais) est la partie immergée de l’iceberg : 1 800 m2 à Noisy-le-Grand (93) conçus pour pouvoir livrer 50 restaurants. Tout y est fait artisanalement par la quarantaine d’employés qui y travaillent en permanence, le hoummos (100 kg produit par jour) comme le caviar d’aubergine ou le taboulé, à base de matières premières qui viennent en grande partie du Liban. “Nous sommes le premier laboratoire libanais agréé de France. Le fait d’avoir eu l’agrément vétérinaire a suscité l’intérêt de certains mais on veut rester dans un souci de qualité, garder le côté artisanal, et puis nous n’utilisons ni conservateurs, ni stabilisateurs”, développe le directeur. Des marques de grande distribution les ont approchés mais ils ne souhaitent pas forcément s’orienter vers ce créneau. “Dans cinq ans, je pense, nous serons à même d’aller en province où nous avons de plus en plus de propositions”, conclut Paul Bou Antoun.
Julie Gerbet |
Derniers commentaires
Un plan saisonnier pour pallier la pénurie de personnel dans le tourisme
L'Ambroisie change de propriétaire
Après deux années difficiles, l'activité affaires reprend des couleurs
Benoît Vidal ferme son restaurant doublement étoilé Michelin
A quoi sert le Resto-Score