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Les thés Dilmah arrivent en France par la grande porte

Produits et boissons - vendredi 2 octobre 2009 10:59
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Dilmah, c'est la marque de l'exigence, de la qualité, profondément ancrée dans le respect de l'homme. Des thés de Ceylan 'pur origine', presque aussi complexes que le vin. Ils sont désormais commercialisés sur le territoire français par TWF et partenaires de la 1ère école internationale du thé au sein de l'Institut Paul Bocuse, à Lyon.



Redonner ses lettres de noblesse au thé de Ceylan par le respect des hommes et du produit : c’est la bataille menée contre les multinationales par Merrill J. Fernando depuis 60 ans. Le fondateur de la marque Dilmah* l’affiche et le revendique. Il est aujourd’hui le premier exportateur de thés de Ceylan, des thés cultivés et conditionnés sur place, ‘non blended, 100% d’origine contrôlée, pur origine’. Son entreprise ‘est’ familiale, dans les faits et dans l’esprit, riche aussi d’une étonnante force vive : Dilmah emploie 35 000 personnes. Récemment, l’industrie du thé était en grève au Sri Lanka. Les 34 000 cueilleuses employées par Dilmah ont refusé de suivre le mouvement, s’estimant ‘correctement et bien traitées’ témoigne Alain Moron, président de TWF. C’est lui qui commercialise désormais pour le territoire français la gamme Dilmah. Essentiel à ses yeux, ‘l’aspect éthique’, en particulier lorsqu’on s’appuie sur l’authenticité et la qualité, fers de lance pour Merrill J. Fernando. Ce dernier reverse chaque année 10 % des bénéfices de sa société à la fondation humanitaire qu’il a créée. Les sommes servent à réalisation d’une centaine de projets par an “pour le mieux être de plus de 10 000 sri lankais”. D’autres programmes “pour la protection de la nature et des espèces en voie de disparition comme l’éléphant d’Asie” sont également mis en œuvre, complète Alain Moron.

A chaque thé son moment de dégustation
Cueillis à la main selon les méthodes ancestrales, issus de 'jardins' provenant de sols très différents situés à des altitudes allant de 200 à 2000 mètres, les thés Dilmah sont immédiatement transformés ‘pour en garantir la meilleure qualité gustative’. Ils sont ensuite conditionnés ‘frais’ à Colombo, deux à trois jours seulement après récolte, alors que certains thés commercialisés par d’autres flétrissent plusieurs mois avant d’être traités... Ce travail d’expert permet aux feuilles de conserver toutes leurs qualités organoleptiques et leur action ‘antioxydante’. “Le thé noir possède d’ailleurs autant d’antioxydants que le thé vert contrairement à ce qu'on dit actuellement” rétablit Alain Moron.
Un thé Dilmah n’est jamais anodin. La gamme qui sera disponible en France fin octobre met, en avant, non seulement une exigence de travail en amont, mais aussi des ‘moments’ de dégustation. Ainsi, en fonction des terroirs et de l’altitude de production, les thés présentent des saveurs dédiées à des instants différents. Jardins Yata, de couleur brun foncé, est rond, plein en bouche, presque musclé commentent les ‘tea tasters’. Cultivé jusqu’à 300 mètres, il donne la robustesse nécessaire pour débuter la journée. Un thé idéal au petit déjeuner. A l’inverse, Jardins Ran, à la robe de liqueur orange doré, aux notes douces et épicées, provenant des plus hauts plateaux, accompagne l’après dîner. ‘Relaxant’, il offre une ‘infusion légère et velouté’.

Partenariat avec l'Institut Paul Bocuse
Vous l’aurez compris, le thé, chez Dilmah, a quelque chose du vin, telle que les amateurs avertis le conçoivent. Et de la tasse à l’assiette, dans ces conditions, il n’y a qu’un pas. Le voici déjà franchi puisque la société et l’Institut Paul Bocuse lancent la première école internationale du thé. L’annonce est tombée dans la foulée de la rentrée 2009. Vont en bénéficier les étudiants en 1ère année du programme Management international de l’hôtellerie et de la restauration. Deux modules ont été mis au point : une session théorique, dispensée sur place, qui permettra aux élèves d’acquérir les fondamentaux. Et un module pratique, alternant restaurant pédagogique et salons de l’hôtel-école Le Royal, au cœur de Lyon. On y parlera, défrichera et composera accords mets/thé, plats à base de thé, cocktails, perception des attentes (la demande de thé ne cesse de grandir à l’heure des repas), savoir-faire et art de vivre…

 

 * Marque créée en 1988, issue de la contraction des prénoms de ses deux fils Dilhan et Malik, tous deux à ses côtés dans l’évolution de la société.

Sylvie Soubes

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