Hôtel Maïtagaria, mieux qu'à la maison
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Biarritz (64) Marie-Thérèse Irubetagoyena et son fils Eric ont une façon discrète de recevoir malgré une présence de tous les instants.

En 1962, la famille Irubetagoyena ouvre six chambres à l’étage du bar-tabacs-journaux qu’elle possède depuis six ans. En 1967, la famille rachète une villa du XIXe siècle, transformée en hôtel. Les développements successifs ont abouti à la création de 15 chambres, dont 10 junior suite.
“On a choisi l’hôtellerie parce que nous étions las de la gestion du bar. Ne rien laisser vieillir, être toujours dans le mouvement”, telle est la devise de Marie-Thérèse Irubetagoyena.
Un ascenseur sera installé en 2011, avant la construction d’un 4e étage. Disposant de deux salons, d’une cheminée, d’une terrasse pour les petits-déjeuners, l’hôtel est décoré avec des meubles des années 1930 chinés. À 76 ans, Marie-Thérèse Irubetagoyena se lève à 6 heures, va au marché, situé à quelques mètres de l’hôtel, afin d’y acheter les produits frais pour les petits déjeuners qu’elle sert elle-même. “Nous assurons l’entretien de l’hôtel, le lavage et le repassage des draps.”
Eric, son fils, l’a rejointe en 1987. “Je faisais des études de droit mais j’ai toujours été présent. Au décès de mon père, soit je prenais la relève, soit on fermait l’hôtel.”
Bernard Degioanni |
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