Aux Agassins, on n’a pas tous les jours 30 ans
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Le Pontet (84) L’hôtel 4 étoiles et son restaurant gastronomique misent sur promotions et animations pour relancer l’intérêt de la clientèle avant de nouveaux aménagements.

Jean-François Mariani et Jean-Rémi Joly proposent un menu anniversaire.

De nouveaux aménagements sont prévus pour valoriser le parc.
“Trente ans, c’est l’occasion de penser à l’avenir !” affirme Jean-François Mariani, le nouveau directeur général des Agassins, un hôtel restaurant construit par son grand-père Ferdinand et son père François, actuel président de la chambre de commerce et d’industrie d’Avignon. C’était donc il y a trente ans. Depuis la concurrence n’a cessé de se développer dans la préfecture du Vaucluse où sont attendus l’ouverture de deux 4 étoiles et d’un 3 étoiles au cours des deux prochaines années, à l’intérieur même des remparts où à proximité immédiate.
Un atout que n’a pas Les Agassins (26 chambres 4 étoiles) qui se situe en périphérie. “C’est une gêne, reconnaît Jean-François Mariani, mais avec notre parc, nous avons aussi la chance d’offrir la campagne à la ville.” Un espace qui va être repensé l’hiver prochain avec la construction d’une salle de réception ouverte sur le jardin, puis d’un spa. En 2012, 3 suites de 60 m2 suivront.
30 € la nuit
Des projets qu’il faut soutenir en relançant l’activité : “Nous visons dès cette année une hausse de 20 % du chiffre d’affaires et 50 % en 2011. Cela passe notamment par la mise en valeur de notre restaurant où le chef, Jean-Rémi Joly ne cesse de progresser. Chaque mois nous allons proposer des soirées à thème : la Corse en juin, le festival en juillet, l’Italie en août, etc. Il y a aussi le menu anniversaire et, pour l’été, le développement du point de restauration au bord de la piscine.”
Enfin, pour communiquer de façon marquante, Jean-François Mariani des nuitées à 30 € par personne, si les clients choisissent le menu qui célèbre l’anniversaire de la maison. C’est vrai qu’on n’a pas tous les jours 30 ans et il faut que cela se sache et s’apprécie.
Jean Bernard |
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