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Trois questions à Sylvain Piantanida, président du club hôtelier de Grenoble

Hôtellerie - lundi 2 février 2009 14:27
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grenoble (38) La ville est candidates aux Jeux olympiques d’hiver de 2018. Et le club hôtelier grenoblois s’active beaucoup dans ce dossier. Son président, Sylvain Piantanida (directeur d’exploitation du Domaine des Fontaines, à Bernin), vient d’être nommé président de la commission communication de Pro Grenoble 2018 (association d’entreprises soutenant cette candidature). Propos recueillis par Nathalie Ruffier



Sylvain Piantanida, président du club hôtelier de Grenoble.
Sylvain Piantanida, président du club hôtelier de Grenoble.

L’Hôtellerie Restauration : Pourquoi avoir choisi de soutenir la candidature de Grenoble aux JO 2018 ?
Sylvain Piantanida : Comment ne pas soutenir la candidature de Grenoble à ces JO ?  Au-delà de tous les apports en termes d’infrastructures (gare TGV, rocade Nord…), les JO offrent une fabuleuse opportunité pour faire encore mieux connaître notre région. Et d’optimiser son image tourisme d’affaires et de loisirs. Cela ne peut être qu’extrêmement positif pour nous, hôteliers. Nous avons donc choisi d’y aller à fond. Et de soutenir clairement la candidature de Grenoble. On y croit, on veut ces jeux et on est prêt à les accueillir.

Comment avez-vous choisi de vous impliquer ?
Nous avons d’emblée choisi d’être membre de Pro Grenoble 2018, structure de soutien des forces économiques de la région. J’ai accepté de prendre la présidence de sa commission communication. Notre participation n’est pas financière, mais nous donnons de notre temps et nous apportons notre savoir-faire. Certains de nos membres vont plus loin. Sous l’initiative de Bruno Delille, propriétaire du Vernay à Autrans, nous avons convié la presse ce lundi 2 février à découvrir Pro Grenoble 2018 et ses membres.

Le taux d’occupation des hôtels est passé en dessous de 63 % enregistrés l’an dernier. Ne craignez-vous pas une certaine surcapacité hôtelière post JO à Grenoble ?
Il nous faut effectivement veiller à ce que l’héritage soit positif pour l’hôtellerie. S’impliquer permet une meilleure visibilité des projets. Participer, c’est pouvoir apporter notre avis et nos conseils sur l’organisation de l’hôtellerie, voire sur l’implantation des nouveaux hôtels. Pour que les JO ne soient pas un handicap mais bien une richesse. Le Club hôtelier y croit, le fait savoir et agit.
Propos recueillis par Nathalie Ruffier

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