Adecco affine ses solutions d’embauches
Emploi - jeudi 23 avril 2009 16:43
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Paris La baisse de la TVA incite de nombreux hôteliers et restaurateurs à réfléchir à des embauches. Mais comment faire lorsque l’on trouve difficilement des candidats et que l’activité demeure en dents de scie ? De nouvelles solutions sont avancées par certaines sociétés de recrutement et d’intérim comme Adecco.

Forfaits annuels ou saisonniers
Philippe Raffner rappelle que depuis 2005, les agences d’intérim sont autorisées à recruter : “De cette façon, nous répondons aux besoins des hôteliers et restaurateurs qui veulent stabiliser leur équipe et préfèrent embaucher un permanent. Avec ces atouts que constituent notre fichier de 200 000 professionnels référencés et le savoir-faire de nos experts en matière de sélection et de gestion du personnel.”
Adecco veut attirer l’attention des hôteliers et restaurateurs sur des solutions innovantes comme les forfaits annuels ou saisonniers. “On s’engage à sécuriser tous les recrutements pour une période donnée, annuellement, par exemple, ou sur une saison. Notre engagement est de fournir à l’hôtelier ou au restaurateur tant de personnes dans telle catégorie de poste durant la période choisie. Nous sommes capables de le faire en organisant des échanges entre du personnel qui travaille selon les périodes dans différentes zones : montagne, mer, villes de loisirs et de tourisme… Cela ne revient pas plus cher que d’embaucher au coup par coup pour quelques heures”, explique le directeur de marché hôtellerie-restauration d’Adecco.
Gestion des extras
“Nous proposons aussi de prendre en charge la gestion des extras. Le but est de soulager les professionnels de cette tâche répétitive compliquée et risquée du point de vue du respect de la législation. Sans que cela soit plus coûteux puisqu’en tant qu’employeur, nous prenons en charge les 10 % de prime de précarité payés par l’hôtelier, restaurateur ou traiteur. Le coût salarial est le même pour moins de risques pour les professionnels : requalification en CDI, impact des accidents du travail”, insiste Philippe Raffner.
Patrice Fleurent |
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