L'Hôtellerie Restauration No 3733
Fonds classés par tranche de chiffre d'affaires hors taxes France * Grandes métropoles ** Balnéaire et montagne Ensemble du territoire (sauf grandes métropoles, balnéaire et montagne) Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Tendance Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Jusqu’à 250 000 € (CA moyen = 156 000 €) 2,53 89 % 2,72 90 % 2,34 75 % 2,55 89 % De 250 000 à 399 000 € (CA moyen = 320 000 €) 2,54 71 % 2,34 75 % 2,77 69 % 1,93 66 % Plus de 400 000 € et plus (CA moyen = 729 000 €) 3,44 83 % 3,12 67 % 3,82 94 % 2,74 69 % Toutes tranches confondues (CA moyen = 378 000 €) 2,82 83 % 2,74 78 % 2,96 86 % 2,54 81 % Fonds classés par tranche de chiffre d'affaires hors taxes France * Grandes métropoles ** Balnéaire et montagne Ensemble du territoire (sauf grandes métropoles, balnéaire et montagne) Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Tendance Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Coef EBE (prix/EBE) Prix/CA Jusqu’à 250 000 € (CA moyen = 164 000 €) 2,36 116 % 2,46 126 % 2,4 116 % 2,2 110 % De 250 000 à 399 000 € (CA moyen = 314 000 €) 2,62 135 % 2,13 125 % 3,04 143 % 2,94 98 % Plus de 400 000 € et plus (CA moyen = 571 000 €) 2,96 137 % 3,07 153 % 2,95 135 % 2,76 109 % Toutes tranches confondues (CA moyen = 294 000 €) 2,56 126 % 2,51 133 % 2,65 126 % 2,59 101 % FONDS DE COMMERCE Moyenne calculée sur les cessions réalisées par le réseau Michel Simond sur la période 2019-2020. *France Métropolitaine et DOM-TOM. ** Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Strasbourg, Toulouse. ”Nous constatons la même tendance à la baisse sur notre marché local des Alpes-Maritimes, bien que les commerces dits essentiels comme les tabacs secs, superettes et supermarchés, ainsi que les autres activités, résistent mieux sur le marché de la cession-acquisition. Une majorité de ces commerces a même enregistré une augmentation notable de leur chiffre d’affaires sur l’année 2020. Les transactions cohérentes par rapport au marché - avec un prix de vente corrélé à la rentabilité, la pérennité et à la qualité des immobilisations -, adossées à des profils de repreneurs professionnels ayant validé leurs compétences de gestionnaire dans leur(s) précédente(s) entreprise(s), tout en disposant d’un apport financier d’au moins 30%du prix de cession, ne rencontrent pas plus de difficultés pour trouver un financement auprès des organismes bancaires. La baisse du nombre de transactions s’explique aussi par des prix de cessions affichés élevés par rapport au marché - les affaires ayant souvent été achetées selon une tendance de prix de vente supérieurs il y a quelques années par rapport au marché actuel -, des montants d’apports en baisse de la part des acquéreurs pour financer les opérations de reprise, ainsi que la conjoncture et la frilosité des banques à financer les projets, notamment sur des reprises par des primo-accédants et/ou personnes en reconversion. La baisse est importante sur la demande des bars licence IV, l’un des secteurs les plus en difficulté, parmi d’autres, depuis les obligations de fermeture, en plus d’être souvent vétustes au regard des nouvelles réglementations et normes. Les bars-brasseries n’échappent pas au phénomène bien que la demande soit supérieure à celle des bars purs. Nous souhaitons témoigner notre soutien à tous les commerçants et chefs d’entreprise ainsi qu’à leurs équipes pour traverser cette actualité compliquée. Nous travaillons activement et sans relâche pour entretenir et redynamiser le marché de la transmission d’entreprise.” Le commentaire d’Emmanuel Barbier, directeur associé du cabinet MS Nice (Alpes-Maritimes) 68 L’Hôtellerie Restauration N° 3733 - 14 novembre 2020 Bars : légère baisse des ventes de fonds de commerce BAR-TABAC BAR-BRASSERIE
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